La Friandise du Corbeau [Discussion ouverte]

Le ciel se nuance d’une couleur sombre, L’air est glacial, le vent souffle avec hargne. Il est étrange, parce que point nous ne sommes dans jours se réchauffant, pourtant des nuages s’amoncèlent avec rage, commençant ainsi à paraitre fort menaçant, comme si un orage se préparait.

En ces terres, bien de choses sont différentes, peut-être est-ce là, la différence qui fait filer les saisons. Je reste dubitative sur le contenu du ciel. Les Etoiles se font discrète, point ne peux les voir avec discernement.

Une présomption … Un signe ?

Pour l’heure, je laisse ces pensées de côté. Il me faut trouver de quoi me rassasier. Mes pas me portent par-delà un sentier. Je crois que jamais je n’ai exploré les alentours. Qu’à cela ne tienne. Je trouverai bien une échoppe pour me fournir en vivres.

De lointains éclats de voix brisent le silence mortifère de la nuit. D’où je me tiens, rien ne filtre. Il fait trop sombre et sans doute suis-je bien trop éloignée de l’épicentre de ces incessants brouhahas pour pleinement les distinguer. Mais qui dit foule, dit réunion de gens. Alors, je me laisse envahir par les paroles qui arrivent à s’échapper par le sans doute perpétuelle entrebâillement de portes battantes qui s’agite au fil de nombreux vas et viens.

Il ne me faut guère plus d’une poignée de minutes pour enfin apercevoir une chaleureuse lumière qui se reflète aux travers de vielles fenêtres.

Bien, je suis arrivé à destination à en croire ce qui me fait face.

Avant que je ne pousse la porte, je rabats ma capuche sur le visage. Après tout, qui sait ce qui peut se trouver à l’intérieur.

Je m’engage alors, je suis coupée dans mon élan par un gueux furibond qui semble fort agacé. Lors de mon écart, ma capuche retombe sur mes épaules

Il a presque réussis à m’envoyer valser ce pleutre.

« Hé toi Scélérat, prend garde, ne vois-tu donc point que j’essaie de passer ? »

Je m’attends à réceptionner en plein milieu de la figure un de ses poings, mais il finit par se raviser, probablement, s’est-il rendu compte qu’il avait devant lui une femme. Dommage… Fou furieux, ses phalanges atterrissent dans la porte, sans se retourner, il s’éclipse.

Un sourire drastique, se laisse apercevoir sur mes lèvres, ma tête fait un mouvement consterné.

Les mâles …

Enfin le comptoir …

« Tavernier, un Hydromel ! »

Pendant que la jeune serveuse servait les bandits venues de nombreuses contrées, son regard s'arreta sur ces personnes.

Hmm, des femmes ici?

Un sourire amusée et moqueur se dessiner sur son visage, tant dis qu'elle apportait un hydromel à la dame encapuchonnée. Sa démarche était élégante, et elle avait un certain air distingué.

-Tenez, et c'est offert par la maison, on croise pas souvent de femmes par ici, et surtout pas des si coriaces.

Elle lui adressa un clin d'oeil et se dirigea vers l'autre, le même sourire amusée aux lèvres.

-Bonjour, je peux vous proposer quelque chose à boire? Ah, mais vous êtes déjà servis.

Elle s'affalat sur la chaise, et tout ses airs feminins s'envolèrent, pour laisser un petit garçon manqué prendre place.

-C'est rare des femmes par ici, vous v'nez d'où?!

Elle appela l'autre femme pour l'inviter à les rejoindre.

-Vous avez qu'a v'nir, vous aussi!

Elle observa un instant l'imposant tavernier qui lui fronçait les sourcils.

-S'ma pose Berny!

Elle haussa un sourcil, signifiant par ce petit signe qu'elle avait enfin trouver de quoi éveiller son intérêt. Elle dévisagea rapidement les deux femmes. Elles étaient de loin différentes à celles que l'on croise devant les maisons à chasser les ordures, une certaine dignité ou fierté qui se discernait entre les plis de leurs fronts et qui leur donnait une aura menaçante ou étrange.

Elle ne retenue pas le sourire qui lui était venue en voyant s'affaler sur une chaise la serveuse. Son sourire était à la fois doux et inquiétant car, si ses lèvres rosées prenaient l'image de la joie, ses yeux semblaient fixer quelques choses d'autres, de lointain et d’inaccessible. Son expression n'était ni humaine, ni elfe.

Elle tendit son point droit fermé devant elle et l'ouvrit lentement avant de le porter sur son épaule gauche en signe de salutation :

"Je viens de loin, d'un pays dont le nom serait synonyme de la terre et des arbres, par delà les monts de la vie et de la mort. Et ça, juste pour votre boisson !"

La variation de sa voix fut brusque, la rendant presque comique ou alors ridicule. Sans y prêter attention, elle poursuivit :

"D'ailleurs ... Votre hydromel est vraiment pas mal ! Et vous, vous en pensez quelque chose ? Ah excusez .. J'ai oublié de vous demander vos noms, si cela ne vous dérange bien évidement !"

Avant d'avoir la réponse et sans quitter du regard ses compagnes de boissons, elle sortit sept osselets gravés de symboles étrange et plusieurs brindilles qu'elle s'empressa d'entourer d'une chaîne d'argent.

Quel service, au moins, je ne suis pas venue pour rien. Rare sont les fois, ou l’ont daigne prêter quel qu’intérêt à une femme quémandant de quoi apaiser sa soif. Ou peut-être qu’ici, c’est différent.

Quoi qu’il en soi, en suivant la femme du regard, je bois une rasade de ma choppe. A présent, je fais dos au comptoir, je m’y appuie.

Elle me hèle ?

Curieux sont les gens d’ici. Cependant, j’accepte son invitation.

D’un signe de la tête je salue les deux créatures avant de prendre un siège.

L’une d’elle pose de questions, normal, elle travaille ici, quand à l’autre et bien, j’écoute, observe, analyse. Puis enfin je leur réponds.

«L’Hydromel, me convient très bien, il est vrai, subtil fragrance, je n’en n’avais jamais bu de semblable avant. Je me nomme Arkanisse, d’où je viens ? De bien loin également. J’ai traversé les mers pour me retrouver ici. Je n’ai encore que peu de connaissance de vos Terres.»

La vue des osselets me fait sourire. Dans mon peuple, ils sont encore parfois utilisé, par contre les signes ils ne sont point similaires. Je m’abstiens de lui poser la question, car, je sais pertinemment ou cela va mener.

Je m’adresse alors à la sommelière.

« Combien de temps cela fait-il que vous travaillez ici ? Êtes-vous de celle qui ont toujours vécu au même endroit ?»

Une question non anodine, parce que suivant ce qu’elle va me répondre, alors, je saurai ou je dois m’adresser pour trouver ce que je recherche.

Je n’en n’oublie guère mon autre interlocutrice. Politesse oblige, j’attends tout d’abords que la serveuse me réponde, avant de m’intéresser à cette autre étrangère.

Soudain la porte s’ouvrit d’un bruit feutré, un jeune homme en toge bleu entra dans la taverne.
Il inspecta le moindre détail de la salle et s’assis devant le tavernier.

-Une cruche d’eau s’il vaut plait et avec un verre évidemment

Le tavernier s’exécuta mais resta méfiant face a l’étranger, c’est alors qu’il demanda d’où il venait.
Le voyageur répond :

-Je ne viens de nulle part je suis ce que vous appelez des aventuriers.
Je parcours le monde de Taboera en quête d’aventure mais aussi pour aider mon prochain.

Le tavernier servi l’étranger et retourna a ses affaires tout en gardant un œil sur l’homme.
Le curieux personnage se retourna en direction des deux femmes.
Il se leva et se dirigea vers Arkanisse et dit :

- Nous nous ne serions pas déjà rencontrée vous et moi ?

Tokä la sauvageonne, voilà quelque chose d’hors du commun.

« Et bien enchantée Tokä la sauvageonne. »

Je regarde mes interlocutrices chacune leur tours, je retire ma cape et la fait tenir sur le rebord de la chaise d'à côté.

« Vous savez quoi ? J’ai bien cru que jamais je ne croiserais l’ombre d’une femme dans cette Auberge ! Je suis bien contente d’être tombée sur vous. »

Je lève mon verre

« Santé ! »

J’en reviens ensuite à l’autre femme. Pour finir, Je me lance …

« Dites-moi, à quoi vous serve vos osselets ? Chez nous, on les emploie de manière divinatoire. Je suis curieuse, aussi veuillez pardonner mon impétuosité, cependant, lorsque que le savoir appelle, alors, c’est plus fort que moi. »

Dans l’attente de sa réponse, un sourire malicieux gagne mes lèvres. Elle n' a guère le temps de répondre, qu'un homme se rapproche de notre table. Mes sourcils se froncent, j'ai déjà entendu cette voix... Oui, et point plus tard qu'il y a quelques lunes. Je me retourne alors, toisant l'homme du regard.

« Eh bien, eh bien, mais qu'avons nous là ? Messire Ninten, comme c'est inattendu. Laissez-moi vous présenter Tokä »

Je fais un geste de la tête en direction de la sauvageonne.

« Et ici, nous avons ... Pardonnez-moi., mais je crois que je n'ai pas saisi votre nom » Dis-je à l'encontre de l'autre femme.


« Installez-vous donc Messire, vous serez mieux que debout.»

Je me sers un verre d’eau et je m’installe à côté des deux femmes.

- En tout cas ça fait plaisir de rencontrer une tête connue.

Je me tournai vers la seconde femme tout en buvant mon verre d’eau et je lui dit :

-Petit oiseau ? Pour votre gouverne j’ai parcouru des régions plus dangereuses les unes que les autres j’ai affronté de créatures que même les gardiens du Fort d’Obsidienne n'oserez approchaient.
Alors je n’ai pas peur de ces ivrognes.

Tous les hommes de la salle me regarda mais retourna immédiatement a leurs occupations sans lever le petit doigt.

-Vous voyez ils m’ont même pas lancé un regard noir alors ne vous en fait pas pour moi mademoiselle

Affalée sous le bar, son cerceau à la main, Heidrunn ne bronchait pas, trop habituée à l'ambiance de la cour des miracles. La cohue permanente, les bastons sans fondements, voilà qui lui semblait désormais familier. La voix un peu trop pompeuse à son goût qui se fit cependant entendre -celle d'un homme trop sûr de lui- lui fit enfin dresser les oreilles. L'enfant donna un petit coup de pied à Berny pour attirer son attention.

- C'est quoi que cet étranger là ? Il va s'faire découper, s'il continue à se donner en spectacle et à la ramener sur nos amis poivrots."

Berny haussa les épaules, mais Heidrunn aurait juré qu'il attendait impatiemment le soulèvement de ses habitués. Les étrangers pompeux n'avaient aucun instinct de survie, ce ne serait pas le premier sur qui une grosse bouteille en verre s'écraserait.

La petite passa la tête au dessus du bar pour voir d'elle même l'allure du pauvre inconscient.

- Il a une trogne d'imbécile. Quelqu'un devrait ptêt lui dire."

Mais pas elle. Elle n'avait pas que ça à faire.

Comme un signal; Ortande attrapa son luth d'une main, Heidrunn d'une autre en lui décrochant un regard complice.
Berny leur fit instinctivement une place sur le comptoir. Une fois montées les deux bardes s’inclinèrent.
Ortande jeta un regard à l'assemblée et commença à chanter sous les acclamation de leurs poivrots préférés.

Ortande : Et dans la cave on l'enferma,
Heidrunn : Cet honnête homme qui nous railla,
Ortande : Et dans le cave il croupira,
Heidrunn : Les rats en feront un repas

(Ensemble, avec une grosse voix éraillée)
Mais vous n'avez pas l'droit,
D'faire ça, d'faire ça,
(Remuent du popotin)
Moi j'suis quelqu'un, bande de vilains,
On plie le dos devant un saint !

Ortande (l'air affligée) :Ah, mais c'est pas possible !
Heidrunn (cri): Mais quelle grosse trogne d'imbécile ! -ileuh -ileuh

(Ensemble)
Et dans la cave on l'enferma
Cet honnête hommeuh qui s'y croit,
Et dans la cave on le bouffera,
Et c'est le diable qui en rira !

Heidrunn : Ah ! ah ah !

Poivrots: Ah!Ah!Ah!

Après la petite chanson vexante des deux guignols les ivrognes commençaient à se rassembler autour de moi.
Un seul d’entre eux s’avance vers moi et me dit :

-Tu fais moins le malin maintenant. Hein ! On va te faire ta fête!

Je lui repondis :
-Il semble que tu ne sache pas à qui tu as affaire-là.

En a rien de temps l’ivrogne sorti un couteau et me le planta dans mon ventre.
Le " chef " se retourne et lança un cri de victoire à ses camarades.
C’est alors qu’il me regarde à nouveau, j’étais toujours debout avec son couteau à la main sans la moindre blessure.
Les poireaux n’en reviennent pas la toge est déchirée mais il n’y avait aucune trace de sang mais on aperçoit des plumes d’un blanc immaculé.
Des ailes se déployaient dans mon dos et générer une sorte d’aura divine.

-Il semble que je me suis pas présentait. Je m’appelle Ninten, je suis l' envoyé des dieux alors si l’un d’entre vous essayent encore de me tuer je lui balancerais une de ses plumes que vous voyez là !

Les ivrognes éclatent de rire, comment une plume pouvait leur faire du mal?
Ils se moquent que je leurs lance des plumes c’est alors que je leurs fait une petite démonstration.
Je pris une plume de mes ailes et je la plante dans le mur qui est à 2 mètres de moi.
Et je dis :

-Vous connaissez mal les pouvoirs des anges.

Les rires laissa place a un silence ou l'on entend les mouches voler
Les ivrognes se replacent à leur table sans le moindre bruits et recommancent a parler de leurs vie privée tout en me surveillant.
Quant à moi je me rassis à côté de Mademoiselle Arkanisse.

-On parlait de quoi deja?

La mystérieuse femme me demande qui je suis, c'est étrange car je les mentionné lors de ma dispute avec les ivrognes.

-Et bien comme je l'ai dit toute à l'heure je m'appelle Ninten et je suis un envoyé des dieux je parcourent le monde en quête d'aventure et pour aider les citoyens de ce monde.

Je pris un nouveau vers d'eau et le bu cul-sec.
J'observe alors les instrument de la femme, et je me dit que ce n'est pas une simple ivrogne, pour moi ce n'est pas le fruits du hasard.

-Que faite vous dans cette taverne si ce n'est de vous saouler? J'ai l'impression que vous ne soyez pas là par hasard.
Je me trompe?

Je me tourna vers le tavernier et je lui demande de remplir ma cruche, il s’exécuta et je repris un verre en attendant sa réponse.

[Désolée de dire ça, mais nin', evite le rp grosbills, personne n'est invincible dans le rp, et y'a des très gros pas beau ici, certainement plus fort que toi, car les plus grands sont ici, donc fait gaffe à pas trop exagerer. Aussi, tu ne connais pas la taverne et ses habitants, n'essayent pas de dire leurs reactions, car ils n'auraient pas fait ça par exemple "ne pas lever le petit doigt" laisse ceux qui s'y connaisse décrire leurs reactions ( Désolée rôle de Modo oblige)]

L'elfe rousse se balança en arrière puis regarda l'homme, avec un air moqueur.

-Un ange? Tu t'crois invincible petit oiseau, mais tu vas te faire brûler les ailes à voler trop haut..

Elle se craqua les doigts bruyamment et regarda les bandits

-Vous, retournez vous asseoir.

Il ne réagir pas.

-Maintenant!, cria-t-elle.

Ni une ni deux, les hommes allèrent s'asseoir, et recommencèrent à faire du bruit.

-Ici c'est chez moi p'tit oiseau, t'avises pas d'foutre le bordel, ok?!

(ps désolée mais je voyez que sa comme solutions pour les ivrognes et je sais bien que personne est invincible)

La sauvageonne me donne la chair de poule. Je devrais en faire une amie et non une ennemie.

-Et bien soit, je ne recommencerait plus ce genre de chose.
Mais au lieu de nous quereller je peux vous offrir un verre?

Je regarde alors la femme mystérieuse qui semble ailleurs et je regarde a nouveau la sauvageonne qui me terrifie toujours autant.

Un petit sourire s'afficha sur mon visage.

-T'as pas besoin de me crier dessus tu sais?
Mais juste un truc: Laisse moi tranquille et je te laisserais en paix.
C'est d'accord?

Je me ressert un verre d'eau et j’attends la réponse de la sauvage avec impatiente.

Quand l'homme-oiseau, Ninten l'envoyé, passa du vouvoiement au tutoiement, Absirium releva les yeux de ses osselets ou elle essayait de se saisir une question de l'univers lui même, ou peut être de l'air, peu importe quel nom lui donner pour désigner la force agissante qui entoure chaque chose.

Elle marmonna pour elle-même : "Il faut que je me concentre plus sur ce qui m'entoure ou sinon, quelque chose va se passer et là, ... N'y pense pas ..."

La jeune femme fit une petite grimace et regarda Ninten, et comme elle l'avait fait avec la dite Arkanisse, si elle n'avait rien déformé, agrippa un pan du vêtement de celui-ci afin de requérir son attention, et d'une voix doucereuse mais inquiétante, commença à parler :

"Pardonnez, mais vous dites bien "un envoyé des dieux", par ma question je souhaitais confirmé ce fait pour ne pas poser une question maladroite. Envoyé, certes, mais de quels dieux ? ... Et une présentation dans les règles de l'art s'avère nécessaire. Vous êtes devant des Dames, Sire."

Un sourire mesquin lui étira les lèvres... Elle regarda brièvement Toka. A son air féroce, elle se dit qu'il fallait peut être glisser deux mots à l'envoyé-oiseau-Ninten. Elle l'attira vers elle, pour lui chuchoter quelques conseils à l'oreille :

"Et, excusez ma possible impertinence, mais, ces ivrognes, s'ils sont ici c'est qu'il y a une raison. Pensez vous que ce sont des animaux ? Et que s'ils boivent c'est juste pour le plaisir de l'ivresse ou pour oublier leurs problèmes, leurs rêves, leurs douleurs ? ... Si vous tenez ne serais-ce qu'a votre dignité, votre honneur, respecter leur présence, et ... acquiescer juste quand la damoiselle vous interpelle ... Vous ... comprenez ?"

Elle examina rapidement ses osselets et leurs runes, avant de s'éloigner, satisfaite. Le cigne, le H, l'encre, l'eau....

"Tiens ... le Feu, le F et ..."

Elle agrippa le bras de Toka la sauvageonne :

"S'il vous plaît est-il possible de commander une cruche de votre alcool favoris ? J'aimerais y goûter ..."

Elle mit le plus de sérénité dans ses paroles que possible, en espérant qu'elle comprendrait, ce qui n'était pas forcément gagner ...

La mystérieuse femme fait de drôle de tête a mon gout mais elle remet en question ma nature d'ange!

-Je n'ai jamais traité ces homme d'animaux, comme vous le dites il sont ici pour échapper a la vie elle même.
Mais me manque de respect sa me rend dingue surtout par une sauvage qui elle obligé de frappé pour se faire respecter.
Vous me demandez par qui je suis envoyé et bien je vous répond cela:
Le dieu de la sagesse,
Le dieu de l'Equilibre,
Le dieu de la Bonté,
Et pour conclure le dieu du Savoir.
Je ne citerais pas leur nom car se serait un affront envers ses dieux et envers ma religion.
Alors ne remettez pas en question ma nature!

Je bu mon verre d'eau et je me relaxa en pensant a ce que mon appris mes maitres.

La jeune elfe laissa tomber sa tête en avant, puis la releva, furieuse. On peut sentir que celle-ci vas exploser. Elle tremble de colère, les poings serrés et les cheveux en avant, couvrant son visage. En bougeant légèrement celui-ci, on peut apercevoir son oeil grand ouvert et remplis de rage. Elle attrape l'homme par les cheveux, et approche son visage du sien.

-Qui tu traites de sauvage?! Que crois-tu savoir de nous?!, elle balança sa tête en arrière et continua, Foutez le dehors!

Un groupe dans l'ombre se lève, et approche de la scène. Des géants surement, vue leurs tailles et gabaries, leurs imposant corps font frémir le sol en bois. Leurs regards sont terrifiant, leurs aspects sales et ingrats. Arrivé au niveau du soit disant "ange", ils l'attrapent fermement vers les bras, en laissant s’échapper un "suis-nous sans faire d'histoire, et tu t'en sortiras plutôt bien petit".

-Attendez..

La rouquine observe l'oiseau aux ailes coincés par les mains de ses géants, et vient lui mordre la joue pour en laissé une trace bien marquée.

-Maintenant, dehors l'piaf, et que je te revois plus ici, ou je m'arrange pour qu'on t'arrache les plumes une, par UNE.

Après m'avoir jeter dehors les "sbires" de la sauvage ferment la porte en ricanant.
Ma joue Pisser le sang et mes ailes avez du mal a bouger.
J'utilise alors mon sort de régénération qui fit cicatriser la vilaine plait mais j'ai toujours du mal a bouger mes ailes.

-Si je rentre je risque d'y laisser mes plumes (c'est le cas de le dire).
Réfléchie.....
Le toit je vais les espionner pour voir ce qui se trafic la dedans, Arkanisse peut avoir des problèmes en ce moment!

Je bat des ailes avec peine et j’atterris sur le toit de la taverne.
Je fit un trou dans le toit assez gros pour y voir la sauvage, la dame bizarre et Arkanisse.