Énlèvement [Privé]

Ou suis-je?

Se sont les premiers mots qui me sont venue à l’esprit lorsque j’ouvris les yeux. Je ne distinguais rien la salle était sombre et humide. Mes poignet étaient attaché a une poutre en hauteur et mes pieds étaient lier par une corde. Ma tête me fessait horriblement mal. Que c’était il passer ? Je me rappelle seulement que je coupais du bois en foret pour le feu, la nuit tombais lorsque soudain une onde de choc me projeta en arrière et je me cogna la tête contre quelque chose de dure. Une pierre surement.

-Enfin tu te réveille. Me dit une voix vicieuse et inconnue.

-ou…ou suis- je. Répondis-je inconsciemment.

Soudain une douleur vive me prit dans le dos, et un bruit de « claquage » retentit dans la pièce. Je lâcha involontairement un cris de douleur.

-LA FERME reprit la voie mystérieuse. C’EST MOI QUI PARLE ICI.!

Je pouvais comme ressentir un sifflement dans cette voix, comme si je parlais a un reptile.
Une seconde douleur se fit sentir subitement accompagner du même bruit assourdissant.

-Arête !! il nous le faut en vie dit une voie féminine si tu continue a le fouetter sans cesse il va y passer et tu sais très bien comme moi que le boss n’appréciera pas.

-C’est pour le plaisir répondit la voix reptilienne.

Ils étaient donc deux ? Et ils me fouettaient ? Pourquoi ? Mon dos me fessait souffrir. Pourquoi les plaies ne se cicatrisaient elle pas aussi rapidement que d’habitude ?
Je ne comprenais rien, j’avais mal, si mal que je ne comprenais plus se que disaient les deux ravisseurs.
Je ressue un troisième coup de fouet surement car je ne répondais pas.

Soudain la rage me saisit. Je sentais mon sang bouillir a l’intérieur de mon être.
Il fallait en finir, je voulais des réponses. Je laissa ma rage éclater et mes flammes me transformer……. Sauf qu’aucune flamme n’apparue. Je ressue a la place une énorme décharge électrique dans les bras.

-C’est inutile, ces chaines ont été conçue pour empêcher le prisonnier de se servir de sa magie .

C’était un cauchemar. C’était la première fois que j’étais si vulnérable.
J’essayai de me débattre en vain. Puis je ressue un coup sur la tête, et, plus rien.

Le silence prit place dans mon esprit et me soulagea de toutes ces douleurs. Une nouvelle sensation apparue, le froid.
Etais-je mort ? C’est donc ca ce que l’ont ressent ? Non. Cette sensation de fraicheur m’était familière. J’ouvrir de nouveau les yeux et une lumière blanche m’éblouie un moment avant de laisser place a un ciel bleu tacheter de quelque nuages blanc. Je tournas la tête sur le coter avec délicatesse pour me retrouver face a une touffe d’herbe geler. J’étais entouré de neige ?

Les douleurs avaient disparue. J’avais surement cicatrisé. Je passa ma main sur le dos et sentis quelques croutes. Les coups avaient du être si violent que même ma régénérescence n’a pu tout corriger.
Je me releva avec difficulté. J’étais entouré de ruines, non, de runes. J’étais au centre d’un cercle runique en ruine dans un paysage hivernal et glacial. Il fallait que je parte d’ici, j’avança de quelques mètre a pied, étourdis et confus. Puis, je tombas. Je me mis à tomber et a rouler dans l’herbe avant de me cogner contre un arbre. Je serras les dents pour atténuer la douleur avant de ramper loin de cette obstacle. Le sol était gelé. Mes dents commençaient de plus en plus a trembler. J’avançais a quatre patte sans vraiment trop savoir ou aller quand soudain ma main plongea dans de l’eau glacer. La sensation de surpris me remis la pluparts des idées en place. J’était sur la berge d’un lac et a l’autre extrémité je pouvais apercevoir un village…. C’était le village de Lyk ! J’étais dans la Crète de Mondrakan.

Je me mis a avancer (debout) avec beaucoup de difficulté vers le village. Une fois arriver sur place, je vis de nombreux humains se précipiter vers moi et me porter a l’intérieur de se qui devait être une auberge. Il parlait trop vite pour que je comprenne se qu’ils disaient mais je compris que je devait être beaucoup « abimé » lorsque deux guérisseuses se mirent a me peindre le dos de crèmes a base de plantes et autre. Le bien de ces crèmes et le chaud de la pièce me procuraient un bien si immense que je m’endormis sur place.

A mon réveille, j’étais seul en présence d’une des deux guérisseuses.

-Vous aller bien ? me demanda-t-elle

Je répondis oui de la tête. Il devait être midi environ.
Elle me prêta des vêtements plus chauds puis une fois habillé je décida de sortir dehors. Le village avait légèrement changé. La dernière fois que j’étais venue la porte principale n’était encore totalement construite.

-Quand avez-vous fini les travaux de la porte ? Demandais-je a la guérisseuse.

-Oh ! Ca va faire maintenant bien un an que les travaux ont été achevés.

Un an ?! Ca fait donc environ un an que j’ai été retenue dans cet endroit mystérieux ? Mais ! Que m’est-il arrivé ?